Nouveau, toujours, bonjour!

Pour la pub, il me semble qu'à partir du moment où on en connait les codes ou les devinent, il ne reste qu'une photo. Et il ne me semble pas non plus que ce forum soit occupé par des gens qui y sont sensibles, à la pub. Ne reste donc que des photos.

Pourquoi, Inka?

Au Tibet, depuis des siècles, la tradition veut que les morts soient donnés aux vautours. Ce sont des moines qui s’occupent du rituel et découpent les corps avant de les disposer pour les vautours. La colonie des vautours est un groupe fixe. Le monastère Sera à Lhassa en compte 130. Les moines les connaissent et suivent les vautours pendant des années. Ils leur donnent même un nom. Pour le tibétain moyen, ce sont des animaux à respecter. Parfois une famille qui emmène un mort sur le terrain y ajoute des kilos de viande de yack si le mort n’avait plus que la chair sur les os. Ils ont peur que les vautours grignotent l’âme du défunt pour être rassasiés. Les vautours servent à laisser s’échapper l’âme du corps. Il y eut un jour un scandale lorsqu’une centaine de vautours moururent parce que le défunt le fut par erreur en ayant mangé du poison pour rats. Les lamas demandent maintenant avec insistance la cause de la mort du défunt. Donner les morts aux vautours est une nécessité écologique à cause de la rareté des arbres et du sol gelé. C’est ainsi depuis déjà quelques dizaines de siècles, comme pour l’emploi des bouses de yack séchées pour la cuisine et le chauffage.
L’ancien monastère Trigungtil, vieux de 820 ans, de l’école Trigung Kaguy, sur le cours supérieur de la rivière de Lhassa, à 100 km de la capitale, a été presque totalement détruit pendant la révolution culturelle. Il a été reconstruit avec les deniers de l’Etat dans les années 80. Le monastère est réputé grâce à son cimetière à ciel ouvert : un des trois plus saints pour les tibétains. Les morts sont offerts aux vautours dans un endroit isolé sur la colline. Deux moines, un ancien et son jeune recru, sont les « croque-morts » : chargés de la découpe du défunt et de casser les os. Ils en traitent une dizaine par jour. Les autres moines, pendant ce temps, font des sessions de prières dans le temple. La famille paie une somme variant de quelques centimes à quelques dizaines d’euros pour le service. Il y a quelques années, le territoire des morts fut entouré d’une énorme clôture en fer pour laisser les chiens sauvages et les photos des touristes à l’écart.

Mouaip   

Je préfère les photos non issues de pub, d'un point de vue artistique et de ce qu'elles disent. Mais ce n'est là que ma sensibilité personnelle...

Odime : oui, ça je le savais, mais la photo ne le dit pas ; ça pourrait être ailleurs et pour une autre raison. Je pensais à autre chose, mais brisons-là, c'est l'heure de la vaisselle.

Celle de midi sèche encore. En fait, je ne l'ai pas encore rangée, donc, pas de place pour celle du soir.

Par contre, je suis à jour sur la lessive.

Et j'emmerde le 8 mars.

Le saviez-tu?

Chacun a une flamme jumelle qui a été créée en même temps que nous au commencement de la création. Dieu nous a créé, nous et notre flamme jumelle, à partir « d’un corps unique de feu blanc ». Il a séparé cet ovoïde de feu blanc en deux entités, l’une de polarité masculine, l’autre de polarité féminine, mais ayant l’une et l’autre une même origine spirituelle, un modèle unique d’identité et une mission unique.


Nihil novi sub sole.

Mega super invisible de la mort :



C'est qui l'bonhomme?

(C'est qui le moteur de recherche? Salaud.)

Ise a écrit:Tu considères que cette photo est du journalisme et pour moi c'est une oeuvre, sacrément belle en plus

Un môme qui crève de faim j'trouve pas ça beau.

Tilmisan a écrit:Ce que tu es ne me passionne pas,
c'est pour ça que ça m’intéresse.

"Ce que tu es" ne veut rien dire.

Je ne veux rien dire.




D'ailleurs.

Bien dit.

Comme on le sait tous il ne faut pas ignorer les invités. Lourd.

Voulez-vous connaître mon identité secrète?

Y a des gens décevants

Pas très bondissants

J'aime le trampoline de Dessein

Laisse les nuages blancs passer au soleil.
Il n’y a ici que toi, la terre et le ciel.
Ne pense à presque rien. Douces comme du miel,

auprès des cressons bleus les brebis viendront boire.
La fille chantera dans la métairie noire,
et sur la terre tiède il tombera des poires.

La vieille tremblera sur le rouet tremblant,
le bélier bêlera dans le troupeau bêlant
— et la fille aimera l’amour de son amant.

Les ânes passeront en frissonnant de mouches.
La mère chantera sur l’enfant qu’elle couche,
et je t’embrasserai, la bouche sur la bouche.

Puis le ciel sera bleu, puis le ciel sera gris.
Les oiseaux chanteront et pousseront des cris
et auprès du vieux puits il poussera des buis.

Écoute, mon amie : il y a sous la grange
un nid d’hirondelles petites et criardes
et qui ont la douceur de la vie calme et sage.

Les grands chars sont passés. Sur leurs cornes luisantes
les bœufs avaient les longues fougères ombrageantes
des bois glacés d’Été qui ont des sources lentes.

On a coupé les blés qui dormaient au soleil ;
puis la pluie est venue, elle est venue du ciel :
elle a noyé le blé et a mangé le miel.

On a coupé mon cœur qui dormait au soleil...
Une fille est venue, elle est venue du Ciel :
elle a noyé mon cœur et a mangé le miel :

mais la douleur est douce et ton amour est doux.
Tu m’as donné ton cœur, ta tête et tes genoux :
nous ne faisons plus qu’un et ton cœur est à nous.

Francis Jammes

Il faut toujours garder l'espoir pour la soif  

Je l'ai revu cette semaine. Je ne l'avais pas vu depuis une vingtaine d'années. Je ne savais même pas qu'il me manquait.

Tilmisan n'est plus là.

La guerre est déclarée. On prépare les munitions.

                                                                Les mélanges "gazon japonais", et toutes graines pas trop fragiles, font très bien l'affaire...

salut ma bonne terroriste

http://villecomestible.org/guerilla-fruitiere/

Yugurthen a perdu son poto
   

Laissons les morts avec les morts.


                                                       

Pourquoi Dessein veut des fruitiers en ville

tout est trop haut dans ce monde !