Sous les combles

Un coin du grenier pour entreposer news, docs et autres scientisteries: botanique stellaire, paléontologie, exobiologie et tutti quanti. Bienvenue, on peut apporter ses chips.

Les chips dans le grenier ? Ca va attirer les rats ca....
Et ca va faire des trous dans nos livres.

Tiens vendredi j'ai visité la maison de Jules Vernes.
Il avait 36 ans quand il s'est fait édité. Dingue non ?

J'avais bien aimé ces documentaires, la musique de fond constante surprend un peu, mais j'aime bien quand même. C'est un peu long, j'en mets un là, le premier sur le temps.

Ah tiens...
-Brigadier, vous savez ce que c'est un comble?
-Ouible !!!

Les combles

Quel est le comble pour un agneau? C'est d'avoir une faim de loup.

Quel est le comble pour un bourdon? C'est d'avoir le cafard.

Quel est le comble pour un facteur? C'est d'être un peu timbré.

Quel est le comble pour un chasseur? C'est de chercher la petite bête.

Quel est le comble pour un coq? C'est d'avoir la chair de poule.

Quel est le comble pour un joueur de pétanque? C'est de perdre la boule.

Quel est le comble pour un boxeur? C'est de mettre des poingts sur les "i".

Quel est le comble pour un avion? C'est d'arriver à fond de train.

Quel est le comble pour un jeune arbre? C'est de se faire appeler vieille branche.

Quel est le comble pour une boussole? C'est de perdre le nord.

Quel est le comble pour un cordonnier? C'est d'être dans le cirage.

Quel est le comble pour un barbier? C'est de raser les murs.

Quel est le comble pour un boulanger? C'est d'être dans le pétrin.

Quel est le comble pour un urbanniste? C'est de ne pas savoir apprécier un pâté maison.

Quel est le comble pour un poids? C'est d'être chiche.

Quel est le comble pour un pompiste? C'est d'avoir un coup de pompe.

Quel est le comble pour une porte? C'est de sortir de ses gonds.

Quel est le comble pour un magicien? C'est d'oublier sa baguette chez le boulanger.

Quel est le comble pour un astronome? C'est d'être dans la lune.

Quel est le comble pour une histoire? C'est de n'avoir ni queue ni tête.

Quel est le comble pour un grand couturier? C'est d'avoir une petite main.

Quel est le comble pour un rasoir? C'est de se barber.

Quel est le comble pour un chapelier? C'est du chapeau.

Quel est le comble pour un menuisier? C'est de se faire payer avec un chèque en bois.

Quel est le comble pour un marronnier? C'est de craindre une châtaigne.

Quel est le comble pour un savon? C'est d'être propre à rien.

Quel est le comble pour un Ecossais? C'est defiler à l'anglaise.

Quel est le comble pour un zébu? C'est d'avoir la bosse des maths

Quel est le comble pour un typographe? C'est d'être pris au pied de la lettre.

Quel est le comble pour un chien de garde? C'est de donner la langue au chat.

http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0960982213004338

"billes" de fer dans les cellules des piafs pour se diriger

(j'ai lu quelque part que nous en avions au dessus des sourcils, moi je dis vivement la retraite que je puisse bouquiner tranquille)

Il y en a aussi sur la face postérieure des genoux, et le sang est plein de fer.

A voir avant d'installer le potager:

merci odime


extrait page wikipedia gerard klein ("le seigneur de la guerre" m'a fait rever)
Dans son œuvre, une nouvelle se détache : Les virus ne parlent pas, où il imagine que les virus auraient créé les êtres vivants de la même façon que les hommes ont créé les ordinateurs et pour la même raison : augmenter leur efficacité. Cette idée préfigure un livre du naturaliste Richard Dawkins qui fera ensuite grand bruit : Le Gène égoïste, traitant du même sujet : les êtres vivants peuvent être considérés comme de gros organismes-robots qu'utilisent les gènes pour se dupliquer davantage et plus vite. Dans la nouvelle de Gérard Klein, la créature échappe aux intentions de son créateur puisque l'homme cherche à éliminer les virus. Voir par conséquent les articles golem, Karel Čapek et Isaac Asimov.

Jl'a piquée za Niobée.

 

C'est possible ?

Il est un peu... enfin... il déraille là non ?!!!

Ouroboros
 

Agkistrodon contortrix

http://www.pnas.org/content/early/2013/12/26/1321664111.full.pdf+html

Je ne m'en sépare jamais.

L'âne à la cicatrice indélébile, qui a écarté d'un trait tous ses amis.

Moi non plus.
Mais y s'appelle pas uccen.